Toi qui travailles cinq jours sur sept.
Toi qui pars le matin à huit heures prendre ton train, ton métro, ta voiture.
Toi qui déposes ta progéniture à l’école avant d’aller t’enfermer à ton tour dans ton établissement.
Toi qui te retrouves dans les embouteillages à 17 h 30 alors que tu souhaites seulement rentrer tranquillement chez toi.
Toi qui payes tes timbres, tes impôts, tes taxes d’habitations, ta taxe foncière, tes assurances, la TVA dans tout ce que tu touches, tes factures d’eau, d’électricité, de téléphone, d’internet.
Toi qui souhaites te rendre dans un service public, tu te retrouves, comme tous les autres comme toi, face à des portes fermées.
Car dans ces lieux mystérieux qui semblent dépourvus de logique, ils sont comme
Toi, ils travaillent cinq jours sur sept, comme toi ils partent le matin à huit heures et comme toi ils rentrent à 17 h 30.
C’est bien vrai ce que tu dis… Quand on y pense, ca craint de travailler toute sa vie ou presque… J’aimais bien le temps où nous pouvions encore rêver sur les bancs de l’université
Travailler toute sa vie ne craint pas si on fait ce qu’on aime, non? Et les rêves sont toujours là, université ou pas, ils changent c’est tout 😉